Crash Team Racing
Qui ne connait pas Crash Bandicoot ?
Moi, moi !
PAN !
Qui ne connait pas Crash Bandicoot ?
Bon, plus sérieusement. Pour la petite histoire, Naughty Dog crée Crash Bandicoot en 1996 sur la première playstation (mon dieu, ça nous rajeunit pas, tout ça !). Jeu de plateforme plébiscité par tous les possesseurs de la console, il permettait de vivre de petits moments de stress, en partie à cause de ce qui nous faisait tous hurler de rage, nous pauvres joueurs : il fallait attendre des points de passages assez peu présents pour sauvegarder !
Bon, passé cela, il y aura deux autres Crash Bandicoot, tous sont de très bonnes factures (non... mais pour qui je me prends, hein ? Ils sont excellents !).
Ah oui, avant que tout le monde se dise « ah oui ce renard tout orange avec un pantalon bleu... » NON ! C'est un marsupial d'australie, et oui... il est orange et à un pantalon bleu.
Et puis il y aura ce petit jeu, réalisé pour concurrencer les Mario Kart, attirant de plus en plus de joueurs par leur simplicité apparente – mais permettant quelques beaux moments de course – et leur possibilité de jeu multijoueur qui attirait énormément de monde.
Étant donné que vous vous trouvez sur playstation, ne hurlez pas ! Les graphismes ne sont pas de la beauté d'un Battlefield, d'un Uncharted ou d'un Assassin's Creed. Non, ils sont de la beauté d'un Crash Bandicoot. Et à cette époque, sur cette console, ils étaient très beaux. Les traces de gommes sur la route lorsque vous dérapez, les sauts, les explosions... tout était bon.
Mais je ne vais pas faire une critique de Crash Team Racing, ce serait aussi utile que de dire que Zola a écrit des livres très intéressants et très bien écrits. On va pas péter dans un pièce pleine de méthane, non plus ?
Non, je vous en parle comme d'un très bon souvenir. Car mes meilleurs souvenirs de jeux vidéos viennent surtout sur le temps que j'ai pu passer dessus à rire, et à rire encore, avec tous mes amis.
La capacité de jouer avec quatre amis sur un écran splitté – vu la taille de mon écran, c'était alors méga-super-splitté – dans des courses ou des batailles.
Les fusées, les TNT (Hoy ! Hoy ! Hoy ! See me ride out of the sunset. On your color TV screen ! → hum hum...) les masques Uka-Uka, ou Aku-Aku (et là... tous se demandent si je parle encore français... foutus français chauvin !)
Ces grandes parties étaient des tranches de rigolades. Et autant dire que nous pouvions tous nous retrouver des après-midi dessus, en supposant que l'on se consacrait surtout aux batailles, parce que les gens n'aimaient pas quand nous jouions aux courses (va comprendre pourquoi...)
Ah oui, j'ai réussi à vaincre Nitros Oxide sur tous les circuits, à tous ses temps, ça m'a pris un temps infini, une concentration de taré, mais j'y suis parvenu. J'ai fais tout ce qu'il fallait, je suis devenu quasiment imbattable sur toutes les courses si bien que les gens en avaient marres de jouer contre moi... et je peux vous le dire, Nitros Oxide n'est pas un personnage à débloquer. On ne peut que l'avoir avec un code...
Ah... que de souvenirs !
Non... vous ne rêvez pas, tout est carré et on distingue des pixels... et les roues paraissent rentrer dans le sol. Ah ! Hérésie. Mais une hérésie qui fait tellement du bien ! ^^
Une petite musique de course comme je les aime !